• Devant Bérénice

    Bonjour, je vous raconte ce qui m'est arrivé alors que je venais d’avoir 18 ans.

    J’étais avec ma copine Bérénice, 17 ans, une brune ravissante avec de jolis petits seins (que je n'avais jamais vu à ce moment là) et des fesses d’enfer.

    ça faisait environ deux mois que je fréquentais Bérénice. On s'embrassait souvent, nous langues s'enlaçaient, mes mains se promenaient sur ses seins et ses fesses se risquant de temps en temps sous la culotte, mais tout ça n'allait jamais plus loin. Bérénice m'avait avoué que j'étais le deuxième, elle avait déjà perdu sa virginité avec un autre mec ... dommage !!??

    Ce jour là on discutait sexe dans sa chambre et au bout d’un certain temps, on s’est posé des questions à propos de nos fantasmes. Je commençais à avoir une trique terrible. Voyant la bosse de mon jean, Bérénice s’est mise à rire. 

     - Tu bande ? ...Je voudrais la voir, me demanda-t-elle.

     Sans me faire prier, je déboutonnais mon pantalon, baissais mon boxer et exhibais ma bite bien raide. C'était la première fois que je la montrais à quelqu’un comme ça. 

     - C’est trop beau ! Montre moi ton gland. 

     J’étais vraiment surpris. Elle qui avait joué la jeunes filles timides jusquà présent ! Sans hésiter, je décalottais ma queue lentement et à fond, et lui montrais l’objet de ses désirs. Elle se mits à sourire. Ca m’excitais terriblement. 

    Je pensais qu'elle allait me prendre dans sa bouche et enfin me sucer. Mais elle ne bougea pas et me dit :

     - Tu te branles souvent ? 

    - ben ... heu .... (j'avais l'air niais)

    - allez réponds moi, ça m'excite !

     - Oui, je le fais plusieurs fois par semaine. 

     - Et tu penses à moi ? 

     - Bien sûr ! 

     - Alors fais moi voir ! 

     J’étais très gêné, devant elle c'était vraiment ...

    Bérénice s'approcha de mon oreille et me dit doucement

     - Ecoute, si tu le fais devant moi, je promets de te le faire la prochaine fois, OK ?

     L’idée était alléchante. je ne pu qu'accepter en imaginant la suite. Je lui demandais :

    - tu peux me montrer tes seins pour m'exciter ?

     Sans répondre, elle enlèva complètement son pull, son teeshirt puis son soutien gorge et me dévoila ses seins. Magnifiques !! mon sexe devint encore plus dur !

    - Allez, vas-y maintenant, avant que mes parents rentrent du travail. 

     Je commençais donc à m’astiquer, raide dingue de sa poitrine. C’était fantastique. Je faisais descendre la peau en recouvrant bien le gland, puis j’accélèrais. Elle me regardais avec curiosité et gourmandise. J’y allais de plus en plus fort. 

     - Attends, je vais t’exciter un peu plus…

     Elle pressa alors ses seins l’un contre l’autre. C’est magnifique. Je sentais l’orgasme arriver. Mais je ne veux pas finir comme ça. 

     - Ecoute Béré, tu veux bien me faire jouir ? 

     Elle sembla hésiter. 

     - Ca change le jeu, mais je crois que tu l’as mérité. 

     Alors commença le meilleur. Sa main saisit ma tige. Je bandais comme jamais. Elle me regarda droit dans les yeux, et commença un mouvement lent. J’essayais de tenir un peu tellement c’était bon. Elle allait de plus en plus rapidement, comme une professionnelle de la branlette. J'était au bord de l’explosion.

     - Tu vas gicler dans pas longtemps ? 

     - Oui… continue, c’est fabuleux… J’arrivais à peine à articuler

    - Tu vas venir dans ma main, j’espère que tu vas en mettre beaucoup. Je veux voir comment ça fait. 

     En entendant ces mots, je ne puis plus me retenir. Une vague de plaisir parti de mes cuisses et de mes reins. Je fut parcouru par plusieurs secousses. Ca n

    ’avais jamais été si puissant. Je frémissais. Elle continuait de me masturber bien fort. Un premier grand jet de sperme jaillit en l’air, puis quatre et plusieurs petits. Mon orgasme me fit trembler. C’était surpuissant. Il y avait du sperme partout sur moi et sur le lit. Béré en avait sur sa main. 

     - C’est génial, je t’ai senti littéralement vibrer. 

    Bérénice approcha sa main pleine de sperme de son nez puis de sa bouche. Je lui demandais :

    - t'as déjà gouté ?

    - non, répondit elle ; ça a pas l'air si mauvais que ça ! Il faut qu'on se rhabille, mes parents vont arriver. Tu reviens me voir demain soir ?

    - sans fautes ! je crois que je venais de tomber amoureux !

     

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